
On s’attache quand même, c’est humain, pourtant et c’est fatal, on sent que certains portent en eux une mort proche et que leurs cadavres seront piétinés sous peu.
Pourtant arrivé au tiers du livre, la redondance s’installe et cela devient pénible à lire, comme une litanie qui n’en finie pas, dommage.
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