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samedi 29 décembre 2007

LIVE OF THE FRENCH ROLLING STONES



Petite contribution vidéo pour mon ami christophe carré qui m'a invité pour son premier concert à Taverny. La preuve en image...

dimanche 9 décembre 2007

burningman london decom 2007



un petit film sur une soirée que je considère comme une préparation au burningman de cet été...

Mes sources photos sont les suivantes :

http://www.flickr.com/photos/30246799@N00/sets/72157603382961085/

http://www.flickr.com/photos/maticki/sets/72157603356278732/

http://www.flickr.com/photos/smoo/sets/72157603363789039/

http://www.flickr.com/photos/sophiedonaldson/sets/72157603379158265/

mardi 4 décembre 2007

sequelles ordinaires


"Luca provient du latin lux qui signifie lumière. A tant vouloir y croire, je crois que je l'ai perdue. J'aimerais sortir de l'ombre. Celle qui flotte à l'intérieur. Et finira par passer sur mes yeux."

Un style marqué, poétique, un livre en clair obscur, peut être un peu trop... A éviter en période de déprime, de déception amoureuse car ce livre peut précipiter une pendaison hésitante.

l'arriere saison


Voilà un bel exercice d'écrivain : partir d'un tableau d'Edward Hopper, puis se laisser tomber, traverser le mirroir... Une rencontre ou plutôt des retrouvailles, un parfum, une robe rouge.

C'est un livre vaporeux, assez envoutant ; un des possibles que génère cette toile, quelque part à Cap Code.

jeudi 29 novembre 2007

Grand hotel Hyatt Kiev

De passage à Kiev, j'ai eu l'occasion de passer une nuit dans une suite de l'hôtel Kyatt. Ca me change du Mercure...

vendredi 5 octobre 2007

Visite chateau de versailles

J’ai visité le château de Versailles dans des conditions exceptionnelles. Je vous laisse découvrir par vous même...

lundi 24 septembre 2007

sublime : Tout ce que j'aimais




C’est un livre sublime, un de ceux qui m’ont le plus bouleversé ces cinq dernières années. L’évolution des sentiments, la douleur profonde des disparitions, le temps qui passe...


Un chef d’oeuvre de sensibilité, de subtilité, un flirt avec la peinture, la sculpture, l’odeur des ateliers d’artistes.


Oubliez la rentrée littéraire, 2003 a de beaux restes...


PS : Paul Auster est un veinard...

mardi 14 août 2007

peur de son ombre


Suffisamment intéressant pour tenir les 400 pages. Bien mené mais manque à mon goût de surprise, de suspens.

samedi 11 août 2007

Bel de nuit





C’est finalement assez long, et cela ne donne pas envie. On sent que le monde de la fête, le “monde de la nuit” n’est pas drôle et de surcroît en perdition.


Je trouve le découpage des chapitres bizarre, la lecture un peu pénible.

samedi 7 juillet 2007

vendredi 6 juillet 2007

grande jonction

Je ne connais pas d'équivalence... Il est loin de nous, parfois un peu trop.

Quel parcourt depuis les racines du mal.

800 pages de délire total où l'on se perd parfois. Mélange de métaphysique, de delirium, théologie, science fiction...

De longues descriptions florales sans intérêt viennent toutefois ponctuer ce mirage littéraire.

Encore un comme ça, et l'on dépassera probablement a limite du "lisible".

A noter aussi la lecture matricielle sur deux colonnes, expérience hallucinante et inédite.

samedi 23 juin 2007

diaporamas de mes photographes préférés

maj : la vidéo a été supprimée de you tube pour contenu subversif... Ca ne s'invente pas.


Retrouvez dans ce diaporama mes photographes préférés comme lohr, vial, stivers, swiatczak, bitesnich, ward, friedler, maass, gordon, gorman, karsten, newton, probst, einhorm, wong, lyons,lohr, et bien d'autres.

La musique est de Katonoma.

Trouvez aussi mes photos cachées...

vendredi 22 juin 2007

Doggy Bag

Désolé, j’ai aimé. Parce que ça coule bien, parce que ça tient la route malgré la densité des événements qui n’est pas sans évoquer les incroyables revirements de “sous le soleil (TF1 vidéo)”.

J’ai l’impression de voir un cavalier qui tient sa monture et la maîtrise parfaitement, même si l’on ne sent plus l’envie de faire des parcours trop difficiles.

Qu’importe, c’est mieux que la télé, c’est d’ailleurs plus facile à emporter en voyage, et c’est certainement pour cette raison que l’on trouve cet ouvrage dans toutes les gares.

Qu’importe disais je, car je vais vite chercher le tome 2.

maj : le tome 2 est du même cru !

maj : le tome 3 aussi.

maj : le tome 4 est un des plus réussi, que du plaisir.

mercredi 20 juin 2007

la recherche américaine (suite) - vu dans 20 min

"Une étude épidémiologique vient de révéler que les personnes qui ont eu des rapports sexuels oraux avec plus de cinq partenaires ont cinq fois plus de chance de développer un cancer de la gorge. Responsable désigné: la transmission du papillomavirus humain (PVH), un virus impliqué dans les verrues et la majorité des cancers du col de l’utérus.


Pour mener à bien cette étude, publiée jeudi dans le New England Journal of Medecine, Maura Gillison et ses collègues de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health de Baltimore (Etats-Unis) ont prélevé des échantillons de sang et de salive sur 100 patients souffrant d’un cancer de la gorge et sur 200 volontaires «sains». Ils ont également soumis ces sujets à un questionnaire détaillé sur leur mode de vie et leurs pratiques sexuelles.


Bien qu’on soupçonne depuis longtemps un lien entre PVH et cancer de la gorge, aucune preuve n’avait jamais été apportée. En analysant les échantillons de salives, les chercheurs ont pu ainsi déterminer que ceux qui ont été un jour infecté par le PVH ont un risque 32 fois plus élevé d’avoir un cancer de la gorge, voire de 58 fois pour les souches les plus virulentes de papillomavirus ! La fumée ou la boisson n’augmentent ce risque que de trois fois."

Cela mérite également une étude de l'étude non ?

la recherche américaine... (reuters)

"Le foie d'oie pourrait transmettre une maladie peu connue appelée amylose, qui pourrait ainsi se propager le long de la chaîne alimentaire sur le modèle des pathologies cérébrales telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob, forme humaine de la maladie de la vache folle, ont déclaré des chercheurs lundi.

Des tests effectués sur des souris montrent que le foie d'oie, utilisé notamment pour la fabrication de foie gras, pourrait être à l'origine de la maladie chez les animaux génétiquement prédisposés à la développer, précisent les chercheurs placés sous la direction d'Alan Solomon, de l'Université du Tennessee.
Un tel résultat donne à penser que l'amylose peut être transmise par la nourriture, comme la maladie de Creutzfeldt-Jakob, forme humaine et rare de l'encéphalopathie spongiforme bovine chez certaines personnes ayant mangé de la viande contaminée."

Voila qui mérite une enquête sur la façon dont a été mené cette étude...

dimanche 17 juin 2007

j'ai testé pour vous - 2 -

Vous ne voulez plus sortir... Vous voulez qu’on vous dise, c’est bien, pas bien, qu’on vous aide quoi.

Bien, voici un petit bilan des lieux testés ces deux derniers week end :

La maison blanche :

Superbe soirée, bon DJ, superbe vue, très (trop?) glam , vodka/burn, le temps a passé trop vite. Bonne aération, pas de sensation d’étouffement. Nice people, nice place... Le barman m’a demandé dix fois si tout allait bien, j’hallucine encore !

Le Kong :

Accueil désagréable. Très beau lieu et c’est tout. Mauvais DJ qui pousse ses enceintes bien au delà de la saturation. Mauvaise ventilation, hors de prix et sans raison.

Le Mandala ray :

Une personne à l’accueil pour un resto de 500 couverts, mais dans la bonne humeur. Restau branchouille, world, cheros, mais plutôt sympa.

Attention à partir de 0h30 tout se fige, plus le droit de manger, rien, juste le droit de prendre une bouteille, that’s all.

Si vous n’avez pas commandé votre dessert, vous sucerez un glaçon, qu’on se le dise.

j'ai testé pour vous...

LE CAB :

Très belles salles, bon DJ, Bon son, atmosphère respirable. Plutôt bien fréquenté, mais comme toujours très jeune...




LE BOUND :

Certes mega branchouille, mais le cadre est sympa, les éclairages doux , la musique éclectique Pop Rock orienté souvent 80/90.
La carte est très large (l’addition aussi).

Un de mes points de chutes préférés.




LE CAFFè MINOTTI :

Peu de choix sur la carte, mais attention, on change de catégorie

Endroit calme (on entend bien les conversation des voisins), lorsque l’on a des choses à se dire et qu’on veut bien les entendre...

Un très bon début de soirée.

Grande jonction - Maurice Dantec


Et si les machines se laissent soigner par lui, alors qu’elles agonisent, et qu’il n’est qu’un être humain, c’est parce que avec elles il partage un instant de pure inhumanité, un instant de beauté sans le moindre compromis terrestre, un instant de la vie au delà de la vie, quelque part dans le chant quantique des particules élémentaires.

graviton spirituel

Pour observer, il ne faut pas être vu, ne pas exister. Notre champ de conscience provoque des interactions avec notre entourage au même titre que deux planètes interagissent au sein d’un champ gravitationnel, que des particules dansent en rythme dans un champ électromagnétique.

Est ce à dire qu’il existe des particules de conscience, des gravitons spirituels ? Comme le photon est l’expression d’un phénomène à deux facettes, l’onde et la particule, ce graviton spirituel serait issue du rayonnement de l’intelligence humaine, sa multiplication générant de fait de plus en plus d’interférences.

A l’échelle humaine, la croissance de la pensée est elle entropique, irréversible, ou la multiplication de ces gravitons spirituels n’est elle pas assimilable à une réaction nucléaire qui s’emballe, une réaction en chaîne qui va provoquer la destruction du système ?

L’évolution humaine ne serait elle pas en fait réversible, telle une transformation quasistatique ?

L’Humanité, pour échapper à ce big crush, doit muer, muter, atteindre un nouveau niveau quantique. Pourtant, à mesure que cette métamorphose devient nécessaire et pressante, des forces contraires le maintiennent dans ce carcan de chairs et d’os.

Un peu comme si à mesure qu’une fusée augmentait sa puissance pour s’extraire de la gravité planétaire, l’augmentation de la gravité ne lui permettait pas d’atteindre sa vitesse d’extraction et l’obligeait sans fin à développer toujours plus d’énergie.




D. dL

segolene royale : la courgette de lyon


Ca ne s’invente pas cette photo de ségolène royale parue dans le journal 20 min. J’aimerai parler au photographe...

le gigolo de l’angoisse


"Je suis le gigolo de l'angoisse, chaque soir je couche avec une inquiétude différente"


Enrico Remmert "Rossenotti"

retour à la nature

"J'effectue un véritable retour à la nature. Quel bonheur ! Bientôt, les racines des arbres, les cailloux et les pissenlits feront corps avec moi. Je pourrai enfin sucer les vers de terre à ma guise."


Fabienne Berthaud " Cafards"

samedi 16 juin 2007

faut il commencer ?


"Ce sera comment de faire l'amour en me demandant chaque fois si c'est l'ultime ?

Faudrait-il commencer maintenant ?"




Anna Rozen " Plaisir d'offrir. Joie de recevoir"

mardi 1 mai 2007

téléchargement illégal

" Baisse de 10,1% des ventes de voitures neuves en juillet ! C’est certainement parce que les gens téléchargent trop de voitures neuves sur internet... je ne vois pas d’autre explication possible... »

(vu sur macgeneration.com)

jeudi 5 avril 2007

La vie des Autres


Sublime, délicat, bouleversant, je suis sorti de la séance le souffle coupé.

Le talent à l’état brut, la sensibilité sans manichéisme, un des plus beau film de ces dernières années.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111643.html

dimanche 1 avril 2007

innovation et intérêt

« Certaines innovations qui bénéficieraient vraiment aux consommateurs ne se produisent jamais pour la raison unique qu’elles ne coïncident pas avec l’intérêt de Microsoft. »

Juge Thomas Penfield Jackson
Novembre 1999

jeudi 1 mars 2007

2001...

« J’aime travailler avec les humains »



HAL 9000
2001, L’Odysée de l’Espace

dimanche 11 février 2007

Le Cri


Résumé (extrait du site le dilettante)
« On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve », a écrit un Grec ancien, très ancien. Pas plus qu’on ne croise deux fois les mêmes visages, reçoit les mêmes mercis, encaisse les mêmes pièces, semble nous dire le héros du Cri, péagiste en bordure de ce fleuve de tôle, de verre, qu’est une autoroute. Au guichet du monde, il les voit tous défiler, souriants, crispés, hurlant, rusés. Le héros s’ennuie avec sérénité, bercé « d’une douce monotonie ».

S’en viennent rompre la cadence, certains êtres, connus, charmants, et puis surtout, Le Cri. Ce tableau de Munch, volé en Norvège et qui échoue dans sa guérite. Et ce Cri, bouche distendue, malheur à qui l’entend : cri qui glace, qui fige. Un jour, Cri sous le bras, le narrateur part, seul, sans but, alors que l’humanité sombre sous l’assaut du « bruit », une fréquence fatale qui terrasse l’auditeur.

Se lit d’une traite, très épuré, étonnant puis finalement angoissant. Un bon petit moment.

PS : le cri de Munch est une de mes toiles préférées.

Mémoire d'une Geisha


Petit DVD d’un samedi soir cocooning. On se doute bien qu’il ne faut pas compter sur ce film pour avoir une reconstitution historique d’avant guerre. Ceci étant dit la photographie est superbe et laisse un parfum bien après l’extinction de l’écran.

Romanesque et romantique, ce film permets même d’arracher la petite larme en happy end. Que demander de plus ?

mercredi 3 janvier 2007

Mulholland Drive - à (re)voir




Très souvent, lorsqu'on n'aperçoit que la partie, c'est encore pire que de voir le tout. Le tout a peut être une logique, mais hors de son contexte, le fragment prend une valeur d'abstraction redoutable, ça peut tourner à l'obsession.
D. Lynch

Imaginez un extraterrestre qui découvrirait une télé. Il analyserait tous les composants, les résistances diodes et autres processeurs mais se douterait il que cela sert à diffuser JP Foucault aux masses avachies ?

Petite digression pour vous dire que ce film m’obsède toujours, et je ne peux que vous conseiller de le (re)voir. Onirique, érotique, obsédant, laissez vous aller au rêve éveillé.

Un peu dépassé par les événements ? Pas de problèmes, lisez cela pour vous préparer :

http://www.oedipe.org/fr/spectacle/mulholland

http://perso.orange.fr/forban/md/index.htm