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vendredi 6 juillet 2007

grande jonction

Je ne connais pas d'équivalence... Il est loin de nous, parfois un peu trop.

Quel parcourt depuis les racines du mal.

800 pages de délire total où l'on se perd parfois. Mélange de métaphysique, de delirium, théologie, science fiction...

De longues descriptions florales sans intérêt viennent toutefois ponctuer ce mirage littéraire.

Encore un comme ça, et l'on dépassera probablement a limite du "lisible".

A noter aussi la lecture matricielle sur deux colonnes, expérience hallucinante et inédite.

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