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lundi 24 mars 2008

ARTEFACT : LE BILAN

Ce roman en trois partie peut se lire comme trois romans. Un conseil, évitez le deuxième, il n’a aucun intérêt et peut conduire à l’abandon de la lecture.

Dans le premier, on retrouve la magie de la sirène rouge, vitesse, fuite, poursuite, 200 pages essoufflantes que l’on lit d’une traite.

Dans le second, on soupir, on prie pour que cela se termine, un verbiage pénible et sans intérêt. Dès que vous en serez convaincu passez directement à la troisième partie, vous ne raterez rien.

Dans la troisième partie, on retrouve du rythme mais on se perd dans des considérations mystiques qui n’en finissent pas.

Au final, et après avoir lu la totalité des livres de Dantec, je vous le dit, j’abandonne. Je perds trop de temps à lire les pavés de cet écrivain autocontemplatif qui je pense a vraiment pété un boulon et me gonfle.

Fan de Thomas d’Aquin, je vous passe le relais