
C’est un livre sublime, un de ceux qui m’ont le plus bouleversé ces cinq dernières années. L’évolution des sentiments, la douleur profonde des disparitions, le temps qui passe...
Un chef d’oeuvre de sensibilité, de subtilité, un flirt avec la peinture, la sculpture, l’odeur des ateliers d’artistes.
Oubliez la rentrée littéraire, 2003 a de beaux restes...
PS : Paul Auster est un veinard...
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